Conseil national de sécurité: les dernières informations






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Les activités, loisirs pas encore accessibles au public sont désormais possibles : les piscines, les centres de bien-être, les parcs, les casinos, les réceptions.Il faudra suivre un protocole, à savoir respecter la distance sociale, le nombre de personnes, le ports du masque fortement conseillé, les heures d'ouverture et de fermeture
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Pour les manifestations, 400 personnes seront permises. Les manifestations devront être statiques et dans un lieu où les distances de sécurité sociale pourront être appliquées. Toute demande de manifestation doit aussi faire l'objet d'une autorisation auprès des autorités locales.
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La fête nationale associera des moments d'hommage et de célébrations. On rendra hommage aux victimes du covid et les métiers de premières ligne seront mis à l'honneur. Le défilé prendra une autre forme. Il n'y aura pas de fête au parc et de feu d'artifices. Des activités seront prévues et retransmises en direct à la télé
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Port du masque : les experts ont recommandé de ne pas imposer le port du masque car il n'y a pas de risques importants pour l'instant. Les experts ont adapté leur avis en fonction de la situation épidémiologique. Ce qui est important, dit Sophie Wilmès, c'est qu'il est très important quand on explique des règles, c'est d'expliquer pourquoi. Nous interviendrons si la situation épidémiologique l'impose. Le port du masque est fortement recommandé
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La prolongation de l'ouverture des bars : après discussion, nous sommes arrivés à la conclusion que le problème pouvait être débattu plus tard, explique WilmèsLes rassemblement festifs et non autorisés : un dispositif particulier est-il prévu ? pose une journaliste.Le respect de l'ordre doit être organisé par les bourgmestres, ce n'est pas facile. La première chose, la règle doit être claire. Les rassemblements sont interdits et dangereux. Les forces de l'ordre ont autorité pour agir.
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Pourquoi 15 personnes ?:On espère pouvoir faire plus, convient Sophie Wilmès. Dans les bulles plus proches, le risque de contamination est plus grand car les contacts sont plus rapprochés par rapport au rassemblement qui ont lieu dans un cadre sécurisé. 15, ça permet d'élargir la personne et d'avancer de manière progressive car le virus est toujours là, rappelle la Première
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Pour le foot et le Mémorial Van Damme : pour le mémorial, les décisions ne sont pas encore arrêtées (même si on annonce 10.000 personnes). Pour les autres événements, le virus ne se propage pas de la même façon en intérieur et en extérieur.Au moins de juillet : 200 personnes autorisées à l'intérieur, 400 à l'extérieur. Au mois d'août, on passera de 400 personnes à l'intérieur et 800 à l'extérieur.Une exception pourra être demandé notamment pour le football mais cela fera l'objet d'une analyse approfondie et dans le respect de protocole stricts.
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Parc d'attractions : la ministre conseille de se rendre sur le site covid https://www.info-coronavirus.be/fr/
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La Belgique passe en phase 4 du déconfinement à partir du 1er juillet :- les contacts de la bulle personnelle sont désormais élargis de 10 à 15 personnes par semaine- les piscines, parcs d’attractions, théâtres et cinémas peuvent rouvrir- en plein air, il est possible de se réunir à 400 maximum dans des règles strictes. 200 à l'intérieur mais dans des règles sanitaires strictes- le port du masque n'est pas imposé dans les magasins- l’obligation de faire ses courses seul ainsi que la limite de temps sont supprimées- les événements de masse restent interdits et les boites de nuit fermées
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La conférence de presse après le Conseil national de Sécurité (CNS) de ce mercredi aura lieu à 13h, a annoncé la Première ministre Sophie Wilmès.
Le CNS, qui rassemble les principaux ministres du gouvernement fédéral et les ministres-présidents des entités fédérées, devait examiner les mesures à prendre afin de lutter contre la pandémie de coronavirus et discuter de l’élargissement des rassemblements autorisés, réclamé par les secteurs culturel et événementiel.
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Elle justifie la prise de cette décision. Le masque n'a d'abord été rendu obligatoire que dans les transports. "Mais les choses ont changé, le temps évolue. Le masque est devenu un outil, face aux interactions qui se sont démultipliés. Notre attention a pu se relâcher. Les experts du GEES ont changé de position. Sans attendre, le soir même, nous avons pris la décision d'élargir l'obligation du port du masque. Il pourrait être à nouveau élargi dans certaines circonstances".
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Sur la vie nocturne : « Ces activités sont considérés comme des événements super-infecteurs. Ce n’est qu’au moment où la situation sanitaire sera vraiment stabilisée qu’on pourra rouvrir ce secteur ». Sophie Wilmès rappelle qu’il ne faut pas organiser d’apéros bondés et indique que les établissements pourront être sanctionnés.
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Un autre point d'attention est le retour des vacances. "Ce n'est pas parce que vous faites des activités dans d'autres pays que ces activités sont devenues sûres. Le virus ne se comporte pas autrement à l'étranger. Il faut appliquer les mesures strictes hygiéniques à l'étranger".
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Sur une éventuelle deuxième vague: "Il faut s'y préparer. Il y a encore beaucoup de pain sur la planche mais la Belgique n'est pas celle de février. Nous avons développé une expertise impressionnante dans la gestion d'une crise sanitaire. Nous avons découvert nos points forts et nos points faibles. Notre politique de testing nous a valu d'être dans le top 10 des pays qui testaient le plus."
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La tendance n'est pas positive, confirme la Première ministre. "Nous voulons voir comment elle évolue", avant de prendre des décisions. "Avec l'accord du Gees, nous pensons qu'il est important d'attendre pour voir où on va. Nous essayons de savoir pourquoi ça remonte, quels sont les cas en présence, et trouver les bonnes solutions. Il faut attendre quelques jours avant l'ouverture d'une nouvelle phase. La tendance d'aujourd'hui n'est pas bonne, on le sait, on le dit mais on verra la semaine prochaine. Si la tendance évolue mal, nous n'irons pas vers la phase 5. Si nous devons appliquer des mesures plus strictes, nous le ferons".
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Des reconfinements locaux sont-ils possibles ? "Toutes les mesures nécessaires seront prises. Il n'y a pas de raison d'exclure des reconfinements locaux. Avant même ce jour-ci, quand il y a eu des recrudescences dans certaines communautés, comme les écoles, elles ont été fermées. Mais nous n'en sommes par encore là".
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Pour ce qui est des contrôles lors des retours en vacances: "Les gens doivent comprendre que quand nous prenons des règles, ce n'est pas pour embêter mais pour protéger la santé. Il faut chaque fois prévoir des systèmes de sanction mais nous comptons sur l'adhésion et le fait que les gens suivent d'eux-mêmes les règles". Sophie Wilmès compte sur l'intelligence collective.
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Sophie Wilmès revient sur le code couleur pour les voyages, expliquant qu'il faut tenir compte de la politique de testing d'une zone. Par exemple, un pays placé en zone orange peut l'être parce qu'il dépiste davantage que d'autres pays. Le gouvernement a demandé que ce soit pris en compte dans le choix des experts qui placent les pays dans les différentes zones. "Nous sommes l'un des premiers pays à avoir appliqué ce code couleur, ce qui rend parfois notre entente difficile avec certains pays parce que ce n'est pas facile d'être placé en code rouge mais notre priorité reste la santé".
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Les salons et les foires rentraient dans la phase 5. Le CNS de ce mercredi a confirmé ce qui rentrait dans la phase 5 mais la décision du passage à la phase 5 devra attendre la semaine prochaine pour dire si oui ou non la phase 5 est ouverte. Mais les salons et les foires commerciales ne sont pas considérés comme des événements "super-infecteurs".
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Vu les inquiétudes que soulève la hausse de cas, il devrait être question d’un durcissement de certaines règles. L’idée est avant tout de donner plus de liberté d’action aux bourgmestres pour traiter les foyers locaux. Mais le fédéral prendra également quelques mesures à l’échelle nationale.
L'une d'elles fait déjà consensus
: un nouvel élargissement du port du masque, notamment dans tous les espaces publics, rues commerçantes et touristiques.
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