Declercq: "La décision de laisser jouer Axel a été prise en concertation avec Dortmund. La décision finale appartient à l'entraîneur. Mais le club était au courant."
Maesschalck: "Axel n'a pas peur. Vous pouvez le voir dans son comportement et dans sa façon de s'entraîner."
Maesschalck: "Nous préférons qu'il fasse une intégration progressive. Mais nous pensons que cela pourra se faire assez rapidement, compte tenu de son passé."
Maesschalck: "Comment va Eden Hazard? Je devrais lui demander."
Maesschalck: "Pour être clair, dans cette rééducation, Axel a fait la différence. Pas nous, le staff médical."
Maesschalck: "Les données ont montré qu'Axel était fit. Ses tests étaient bons. Alors pourquoi attendre plus longtemps ?"
Retrouvez les principales déclarations de Nacer Chadli et Leandro Trossard en conférence de presse:
Trossard: "C'est agréable d'être là et d'avoir un avant-goût d'un tel tournoi. Les entraînements sont intensifs et de haut niveau. Cela me rend meilleur. Bien sûr, j'espère avoir des minutes, mais je n'ai pas d'objectif en termes de temps de jeu dans ma tête. Je fais de mon mieux à l'entraînement et je veux montrer que je suis prêt. On ne m'a pas dit spécifiquement que j'aurai des minutes contre le Danemark."
Trossard: "À Brighton, je suis toujours titulaire et je n'entre presque jamais au jeu. Mais je pense que je peux avoir un impact en tant que remplaçant avec une passe décisive ou un but. Je ne me suis pas inquiété quand je n'étais pas en forme la semaine dernière. J'avais quelques douleurs aux quadriceps, je ne voulais pas être absent plus longtemps que nécessaire. Trois jours après le match, je me suis à nouveau entrainé avec le groupe et je n'ai plus eu de problème. J'ai fait beaucoup de progrès ces dernières années. Je pense que l'entraîneur l'a vu aussi."
Trossard: "Nous avons tous les moyens à notre disposition pour arriver au Danemark en pleine forme. L'avion est très confortable, même si nous préférerions bien sûr jouer dans notre propre pays."
Trossard: "Je n'ai pas encore eu de contact avec Maehle après l'incident avec Eriksen. Je lui parlerai demain ou après-demain, je pense."
Trossard: "Difficile de savoir à quoi s'attendre contre le Danemark. Ce sera un match spécial. Je pense que tout le monde pense encore à Eriksen."
Chadli: "J'étais choqué pour Eriksen. Je ne regardais pas mais j'ai reçu un message. On s'apprêtait à aller au meeting technique et tout le monde était abasourdi. Puis sur le chemin du stade on a appris qu'il était conscient et ça a été un ouf de soulagement. Si je pensais qu'il était dans un état critique au moment de jouer ma concentration n'aurait pas été au top."
Chadli: "Je parle de ma prolongation depuis quelques semaines avec Basaksehir. Je continue sur une durée de deux ans car il y a un projet au club. On est tombé d'accord il y a quelques jours. C'est rassurant car j'ai eu quelques blessures mais je pense que sur la fin j'ai montré ce que je pouvais apporter et je pense que le club en est conscient."
Chadli: "J'ai eu des doutes pour la sélection. La sélection est passée à 26 joueurs ce qui a fait plus de place pour moi. Quand mon nom a été cité j'ai été soulagé."
Chadli: "Pour nous la composition danoise ne changera pas beaucoup. On va se préparer à fond car une victoire est synonyme de qualification pour nous."
Chadli: "C'est une très bonne équipe, ils ont des très bons joueurs. Il faudra jouer à notre niveau pour gagner. Je ne sais pas dans quel état d'esprit ils seront."
Chadli: "Axel Witsel a eu sa blessure 3 jours avant la mienne. On travaillait ensemble en Belgique. Il ne s'est pas mis la pression et à travailler d'arrache-pied pour être là. C'est magnifique ce qui lui arrive, presque un miracle."
Chadli: "Axel n'a pas du tout douté. Il ne se mettait pas la pression de revenir pour l'Euro. C'était important que son tendon soit bien guéri puis il voulait voir s'il pouvait revenir pour l'équipe."
Chadli: "Ca peut être un avantage de ne pas avoir beaucoup jouer car la fraicheur est très importante mais on risque de manquer un peu de ryhtme."
Chadli: "Romelu Lukaku est un gagnant et un leader né. Sa mentalité est vraiment top. Il a évolué ces dernières années et a beaucoup travaillé sur lui-même. Rien que sa transformation physique prouve le mental qu'il a."
Chadli: "Lukaku s'exprime beaucoup. Il est toujours là pour complimenter, encourager et donner son avis. C'est quelqu'un de très positif."
Chadli: "Thierry Henry connaît très bien Romelu. C'est très important de l'avoir dans le groupe. Il n'y a personne de mieux au monde pour le guider que Thierry Henry."
Chadli: "Mon rôle sur le flanc gauche n'a pas changé depuis que Roberto Martinez est là. J'ai remarqué que beaucoup d'équipes jouaient avec des "wing back". c'est l'évolution du football. Les équipes ferment souvent le milieu du jeu et beaucoup d'équipes misent sur les attaques de côté."
Chadli: "Je peux jouer des deux côtés mais je me sens plus à l'aise du côté gauche. Mais beaucoup de joueurs peuvent jouer sur ces positions. Yannick, Thorgan,..."
Chadli: "Si je suis là c'est plus par rapport à ce que je peux apporter sur le terrain que par rapport à mon statut."
Chadli: "J'espère voir Eriksen s'il vient au match et peut-être le réconforter un peu. Il aura besoin du soutien de sa famille et de ses amis car il traverse un moment difficile."
Chadli: "Rien n'a changé pour moi avec la blessure de Timothy. C'est très dommage et il nous manque un joueur mais plusieurs joueurs se préparent à pouvoir pallier son absence."
Chadli: "Je suis au courant des polémiques avec Thomas Meunier et les journalistes de l'Equipe. Thomas n'a rien dit de mal, il a juste cité un fait. Le commentaire a été mal pris par les Français qui ont dit qu'on avait pris le gros coup. Ca ne change rien pour nous, on continue à travailler. Il n'y a pas de sentiment anti-français dans le groupe. La demi-finale est passée, il n'y aura pas de sentiment de revanche. Il faut qu'on soit concentré."