Guerre en Ukraine: les dernières informations

Les tensions le long de la frontière ukrainienne ont augmenté ces derniers jours. Suivez l'évolution en direct.

    La Maison Blanche qualifie les manœuvres russes dans l’Est de l’Ukraine d’invasion 

    La Maison Blanche a employé le terme «invasion» pour qualifier les manœuvres russes en Ukraine, ouvrant ainsi la porte à des sanctions encore plus sévères, a rapporté mardi l’agence de presse américaine AP.

    «Nous pensons que c’est, oui, le début d’une invasion, la dernière invasion russe en Ukraine», a déclaré Jon Finer, le conseiller adjoint à la sécurité nationale du président Joe Biden, insistant sur le mot «dernière».

    Le président américain avait prévenu qu’une invasion constituerait une «ligne rouge», menant à des sanctions plus fortes.

    Plus tôt dans la journée, certains dirigeants occidentaux s’étaient montrés réticents à qualifier d’invasion les mouvements de troupes russes dans les républiques autoproclamées de l’Est de l’Ukraine. Washington est le premier à le faire.

    Une source anonyme américaine a confié à l’agence AP que la position de Washington avait changé en raison de la situation sur le terrain. Au départ, les Américains voulaient attendre et voir si les troupes russes allaient effectivement franchir la frontière mais après une évaluation des mouvements des troupes russes, il semble qu’il est devenu clair pour les États-Unis qu’il s’agissait d’une invasion.

    L’Ukraine réclame à l’UE la promesse de sa future adhésion
    L’Ukraine a exhorté mardi l’Union européenne à lui donner des garanties sur une future adhésion, face aux menaces russes.
    «J’ai appelé l’UE à mettre de côté toute hésitation, toute réticence et tout le scepticisme existant dans des capitales européennes et à donner à l’Ukraine la promesse de sa future adhésion», a déclaré le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba lors d’un point de presse à Washington.
     
    Le point sur la situation à 17h00
    • Moscou a invité les autres pays à reconnaître les entités séparatistes dans l'est de l'Ukraine. 
    • Poutine demande au Sénat l’envoi de militaires en soutien aux séparatistes en Ukraine.
    • L’Ukraine réclame à l’UE la promesse de sa future adhésion. Le pays demande également à l’Occident de lui fournir davantage d’armes. 
    • Joe Biden va s'exprimer à 20 heures ce mardi.
    • Les premiers sanctions tombent ce mardi. L' Allemagne a suspendu l'autorisation du gazoduc Nord Stream 2. L'UE propose également d'interdire l'accès de Moscou à ses marchés et services financiers. 
    • Les prix de l'énergie vont augmenter en Belgique en raison, notamment, de ces tensions. 
    Poutine demande l'envoi de militaire 
    Le président russe Vladimir Poutine a demandé mardi soir à la chambre haute du parlement d’autoriser l’envoi de militaires russes en soutien aux séparatistes prorusses de l’est de l’Ukraine dont il a reconnu l’indépendance.
    Le vice-ministre russe de la Défense Nikolaï Pankov a lu la demande du chef de l’Etat devant l’assemblée réunie en session extraordinaire, arguant qu’«aux frontières des républiques populaires de Donetsk et Lougansk, une armée (ukrainienne) de 60.0000 hommes et de blindés lourds» a été déployée.
     
     La Russie dit avoir accueilli quelque 100.000 personnes du Donbass
    La Russie a déclaré mardi avoir accueilli quelque 100.000 personnes des républiques populaires autoproclamées de l’Est de l’Ukraine, Lougansk et Donetsk. Le président russe Vladimir Poutine a reconnu lundi soir ces régions séparatistes et a annoncé vouloir y déployer des troupes dans une mission de «maintien de la paix».
    «Ces trois derniers jours, environ 100.000 personnes ont traversé la frontière vers Rostov», qui se situe à la frontière des deux régions séparatistes, a déclaré Andreï Jatiskin, sénateur de cette région russe. «Quinze trains les ont emmenées de Rostov vers d’autres parties du pays, qui ont accueilli ces réfugiés dans une preuve de solidarité. Le flux de réfugiés ne cesse de croître», a-t-il dit lors d’une réunion du conseil de la Fédération.
    Le 18 février, Denis Pouchiline et Leonid Pasetchnik, les représentants des deux régions séparatistes Donetsk et Lougansk, ont appelé à l’évacuation de leur territoire. Ce sont essentiellement les femmes, les enfants et les personnes âgées qui ont fui la zone de conflit vers Rostov.
     
    Ukraine: l’Otan s’attend à une attaque de grande envergure de la Russie
    Les annonces se multiplient 
    Le G7 apporte son soutien «inébranlable» à l’Ukraine

    Les chefs de la diplomatie des grandes puissances du G7 ont apporté mardi leur «soutien inébranlable» à l’intégrité territoriale de l’Ukraine après la reconnaissance par Moscou des régions séparatistes de l’est du pays, a annoncé la ministre britannique des Affaires étrangères Liz Truss.
    «Les ministres des Affaires étrangères du G7 condamnent fermement la violation par la Russie de ses engagements internationaux», a tweeté Mme Truss après un entretien téléphonique avec ses homologues américain, français, allemand, italien, canadien et japonais, ajoutant: «Notre soutien à l’intégrité territoriale de l’Ukraine est inébranlable.»
     
    Le point sur la situation à 17h35
    • Les accords de paix en Ukraine «n’existent plus» a déclaré Poutine
    • Le Sénat russe a approuvé ce mardi soir le déploiement de soldats en soutien aux séparatistes
    • L'Otan craint une invasion de grande envergure. 
    • L’Ukraine réclame à l’UE la promesse de sa future adhésion. Le pays demande également à l’Occident de lui fournir davantage d’armes. 
    • Joe Biden va s'exprimer à 20 heures ce mardi.
    • Les premiers sanctions tombent ce mardi. L' Allemagne a suspendu l'autorisation du gazoduc Nord Stream 2. L'UE propose également d'interdire l'accès de Moscou à ses marchés et services financiers. 
    • Les prix de l'énergie vont augmenter en Belgique en raison, notamment, de ces tensions. 
    Vladimir Poutine: les accords de paix en Ukraine «n’existent plus»

    Les sanctions européennes viseront des responsables et des institutions financières

    Les sanctions européennes viseront des responsables impliqués dans la reconnaissance par Moscou de l’indépendance des territoires pro-russes de l’est de l’Ukraine et dans l’envoi de troupes, mais aussi des banques et l’accès aux marchés et services financiers de l’UE, ont confirmé mardi Ursula von der Leyen (Commission européenne) et Charles Michel (Conseil).

    Ce paquet, sur lequel se sont déjà penchés ce matin les ambassadeurs des Vingt-sept, est soumis depuis 16h00 à un conseil informel des ministres des Affaires étrangères, à Paris. La décision, de nature politique du fait du caractère informel de cette réunion, devra être finalisée au plus vite au niveau juridique.

    Les sanctions proposées viseront des responsables «impliqués dans la décision illégale» de reconnaissance d’indépendance et d’envoi de troupes russes dans certaines régions des oblasts de Donetsk et de Lougansk, disent l’Allemande et le Belge.

    Elles cibleront aussi des banques qui financent des opérations «militaires ou autres» dans ces territoires, ainsi que la capacité de l’État et du gouvernement russes à accéder aux marchés financiers et des capitaux de l’UE, et à leurs services. Le commerce des deux régions séparatistes avec l’UE sera également visé.

    Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a davantage détaillé ces sanctions dans un entretien à France Télévisions, peu avant la réunion ministérielle de Paris: les sanctions personnelles (traditionnellement: gel des avoirs et interdiction de voyager en Europe) toucheront les parlementaires russes qui ont voté à la Douma la reconnaissance de l’indépendance des régions séparatistes ukrainiennes, ainsi que des responsables militaires russes ou encore le personnel actif dans les campagnes de désinformation. 

    Les sanctions économiques toucheront les exportations depuis la région du Donbass, «exactement comme on avait fait pour la Crimée», a fait observer M. Borrell. Enfin, les sanctions financières viseront les institutions bancaires russes qui financent les oligarques et l’entourage gouvernemental. «Et puis on va faire en sorte que l’État russe ne puisse plus se financer en Europe».

    L’UE a en outre préparé des mesures supplémentaires, qu’elle est prête à adopter si de nouveaux développements le nécessitent, ont souligné Mme Von der Leyen et M. Michel. Ils confirment de la sorte leur volonté d’adresser une réponse présentée comme proportionnée à l’agression et graduelle, en fonction des développements possibles.

    Le mieux serait que l’Ukraine renonce à l’Otan, devienne «neutre» assure Poutine 

    Le président russe Vladimir Poutine a jugé mardi que la «meilleure solution» pour mettre un terme à la crise autour de l’Ukraine serait que Kiev renonce à son désir de rejoindre l’Otan.

    «La meilleure solution à cette question serait que les autorités actuellement au pouvoir à Kiev refusent d’elles-mêmes de rejoindre l’Otan et s’en tiennent à une neutralité», a déclaré M. Poutine.

    Le point sur la situation à 20h30
    • Vladimir Poutine déclaré ce mardi que les accords de paix en Ukraine «n’existent plus» et que le mieux serait que l’Ukraine renonce à l’Otan et devienne «neutre».
    • Le Sénat russe a approuvé quelques minutes auparavant le déploiement de soldats en soutien aux séparatistes
    • Moscou annonce l’évacuation prochaine des diplomates russes d’Ukraine
    • L'Otan craint une invasion de grande envergure. 
    • L’Ukraine réclame à l’UE la promesse de sa future adhésion. Le pays demande également à l’Occident de lui fournir davantage d’armes. 
    • Joe Biden a annoncé des sanctions qui coupent la Russie des financements occidentaux.
    • Les responsables européens se sont mis d'accord sur un ensemble de mesures. Elles doivent encore être détaillées. On sait déjà que l' Allemagne a suspendu l'autorisation du gazoduc Nord Stream 2. L'UE propose également d'interdire l'accès de Moscou à ses marchés et services financiers. 
    Poutine prêt à «démilitariser l’Ukraine»

    Le président russe Vladimir Poutine s’est prononcé mardi pour une démilitarisation de l’Ukraine, arguant des armes qu’elle reçoit de ses alliés occidentaux.
    «Si nos prétendus partenaires gorgent les autorités de Kiev d’armes modernes (...) alors le point le plus important est dans une certaines mesure la démilitarisation de l’Ukraine actuelle», a-t-il dit.
     
    Trump assure que Poutine n’aurait «jamais» agi ainsi s’il était au pouvoir

    Donald Trump a fustigé mardi la gestion par son successeur Joe Biden de la crise en Ukraine, vantant sa proximité avec Vladimir Poutine et assurant que le président russe n’aurait «jamais» agi ainsi sous son administration.
    «Si elle était correctement gérée, il n’y avait absolument aucune raison pour que la situation qui se déroule actuellement en Ukraine ait lieu du tout», a assuré l’ancien président dans un communiqué.
    «Je connais très bien Vladimir Poutine, et il n’aurait jamais fait sous l’administration Trump ce qu’il fait maintenant, pas question!», a-t-il déclaré, après l’ordre du président russe de déployer des troupes dans deux zones séparatistes d’Ukraine.
    La proximité de Donald Trump avec Vladimir Poutine avait fait l’objet de vives critiques de la part de l’opposition durant son mandat.
    Le milliardaire républicain, qui flirte avec la possibilité de repartir dans la course à la Maison Blanche, a aussi qualifié de «faibles» les sanctions adoptées pour le moment par l’administration Biden. «Elles sont insignifiantes comparées à la prise d’un pays et de terres stratégiquement situées», a accusé l’ancien dirigeant. «Non seulement Poutine obtient ce qu’il a toujours voulu, mais il s’enrichit de plus en plus grâce à l’essor du pétrole et du gaz», a-t-il renchéri.
    Après de premières sanctions prudentes, visant spécifiquement les territoires séparatistes prorusses en Ukraine, la Maison Blanche a promis de muscler sa riposte mardi contre Moscou.
     
    Petite lecture pour prendre le temps de comprendre les derniers événements 
    Les Sanctions européennes contre la Russie et les séparatistes pro-russes en Ukraine approuvées à l’unanimité
    Les mesures détaillées vont être développées dans quelques instants. 
    L’UE approuve un «paquet de sanctions» contre la Russie «à l’unanimité»

    Les Vingt-Sept Etats-membres de l’UE ont approuvé mardi un «paquet de sanctions» à «l’unanimité» contre la Russie après sa décision de reconnaître les territoires séparatistes dans l’est de l’Ukraine.
    «Nous sommes tombés d’accord sur un premier paquet de sanctions à l’unanimité», a annoncé le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian à l’issue de la réunion des 27 ministres des Affaires étrangères à Paris. Ces sanctions «feront très mal à la Russie», a ajouté le chef de la diplomatie de l’UE, Josep Borrell.
     
    Moscou annonce l’évacuation prochaine des diplomates russes d’Ukraine

    La Russie va évacuer ses diplomates d’Ukraine, a indiqué mardi le ministère russe des Affaires étrangères, accusant les autorités ukrainiennes de ne pas faire le nécessaire pour garantir leur sécurité.

    «Pour la protection, la vie et la sécurité (des diplomates russes, ndlr), le gouvernement russe a pris la décision d’évacuer le personnel de ses missions étrangères en Ukraine, qui sera mise en oeuvre dans les plus brefs délais», a déclaré le ministère dans un communiqué, après que la Russie eut reconnu l’indépendance des républiques séparatistes prorusses dans l’est de l’Ukraine.

    Voici quelques semaines, l’Ukraine a sollicité la Belgique afin qu’elle lui fournisse du matériel militaire. Selon la VRT qui a révélé l’information ce mardi, il était question de 5.000 casques usagés, de gilets pare-balles ainsi que d’armes et de munitions. Après discussion, le gouvernement fédéral n’a pas répondu à la demande. 
    Joe Biden devait s'exprimer il y a 55 minutes. Le président américain ne devrait plus tarder.

    Le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian a dénoncé mardi le «cynisme» du président russe Vladimir Poutine qui, en reconnaissant les territoires séparatistes prorusses de l’Est de l’Ukraine ne respecte plus ni la «signature de la Russie» ni ses «propres engagements».

    «Le président de la République connaît les méthodes, le caractère, le cynisme de Vladimir Poutine. Il l’a pratiqué. Il n’est pas naïf dans ses discussions», a souligné le ministre des Affaires étrangères après l’échec de la médiation tentée par Emmanuel Macron dans la crise russo-ukrainienne.

    La Russie établit des relations diplomatiques avec les séparatistes d’Ukraine

    La Russie a officiellement annoncé avoir établi des relations diplomatiques avec les deux régions séparatistes de l’est de l’Ukraine dont Vladimir Poutine a reconnu la veille l’indépendance, au grand dam de Kiev et des Occidentaux.
    Moscou et les «républiques» de Donetsk et de Lougansk, non-reconnues par la communauté internationale, se sont mis d’accord sur l’"établissement de relations diplomatiques», a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères.
    Le chef de la diplomatie Sergueï Lavrov a adressé ses félicitations à ses «homologues» des deux régions séparatistes, a ajouté le ministère dans un communiqué.
    «La partie russe a pour objectif de développer une coopération exhaustive» avec ces territoires afin de «renforcer la paix, la stabilité régionale et la sécurité», a poursuivi la même source.
    Un soldat ukrainien a été tué et six autres blessés mardi dans des bombardements séparatistes prorusses dans l’est de l’Ukraine, a annoncé l’armée, dans un contexte de tensions croissantes.
    «Un militaire a été tué» dans la région de Lougansk, a indiqué à l’AFP un porte-parole militaire, Pavlo Kovaltchouk, sans préciser où les autres soldats avaient été blessés.

    Le président américain Joe Biden est arrivé.
    Selon Joe Biden, Poutine s'apprête à prendre de force d'autres territoires et à aller beaucoup plus loin. "C'est le début d'une invasion russe de l'Ukraine. Il va falloir imposer des sanctions". "Si la Russie poursuit son invasion, nous sommes prêts à prendre d'autres sanctions".
    "J'annonce aujourd'hui la première tranche de sanctions qui vont être imposées à la Russie. Il y a 4 sanctions qui vont bloquer des institutions financières, la banque militaire et la VIB. Nous allons imposer des sanctions sur la dette souveraine de la Russie, elle n'aura plus accès aux financements occidentaux. Elle ne pourra plus faire de commerce sur le marché européen. Nous allons imposer des sanctions sur les élites russes. Nous allons travailler avec l'Allemagne à bloquer le gazoduc russe."
    "Je veux être très clair. Il s'agit d'actions totalement défensives de notre part. Nous n'avons pas l'intention de combattre la Russie."
    "Nous sommes persuadés que la Russie veut aller plus loin et va lancer une attaque militaire massive contre l'Ukraine. J'espère me tromper."
    "Il n'y a aucune justification (aux mouvements russes). La Russie constitue une menace pour l'Ukraine. (...) Tout cela aura un coup pour nous chez nous", reconnaît Biden par rapport au risque d'une hausse du prix de l'essence.
    "J'espère que la diplomatie est toujours une possibilité pour nous", conclut le président américain.
    Ce qu'il faut retenir de l'allocution de Joe Biden:


    • Les Etats-Unis prennent une série de sanctions qui coupent la Russie des financements occidentaux et qui visent les «élites russes».
    • Joe Biden a dénoncé «le début d’une invasion russe de l’Ukraine», et annoncé que les Etats-Unis continueraient à fournir des armes «défensives» à l’Ukraine.
    • Les Etats-Unis vont continuer à fournir des armes «défensives» à l’Ukraine.
    • Biden autorise le redéploiement de troupes américaines dans les pays baltes.
    • «Il est encore temps d’éviter le pire», assure le président américain.

    Des risques pour les prix du gaz?

    «La Russie n’est plus le partenaire fiable qu’elle était auparavant sur le plan énergétique», a affirmé mardi soir le Premier ministre Alexander De Croo au cours du journal télévisé de la VRT.

    L’ancien président russe Dimitri Medvedev a menacé plus tôt dans la journée l’Europe de payer bientôt «2.000 euros pour 1.000 mètres cubes de gaz». Cette déclaration est intervenue après que le chancelier allemand Olaf Scholz eut décidé de ne pas autoriser, pour le moment, les livraisons de gaz via le nouveau gazoduc Nord Stream 2 entre la Russie et l’Allemagne.

    Pour M. De Croo, la déclaration de M. Medvedev relève de l'«intimidation russe». 

    En revanche, le Premier ministre a reconnu qu’une éventuelle hausse du prix du gaz serait prise en compte dans le débat sur la fermeture des centrales nucléaires. «Je ne veux pas préjuger de la décision, mais nous devrons prendre en compte tous les éléments», a déclaré le Premier ministre. 

    Alexander De Croo a souligné que la décision serait prise en fonction de la maîtrise des risques et dans le but de maintenir les prix au plus bas.

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